Même la reine-sorcière, pour sa pomme empoisonnée, ne tomba pas dans une telle disgrâce : « l’animal pervers » de La Fontaine, quelques millénaires après l’affaire du Jardin d’Eden, endure quolibets et brocards. Pourtant discret, voire silencieux, le serpent aurait toutes les qualités qu’on attend d’un usager de bibliothèque… Oui, mais non…
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