Portés par le coup d’envoi des JO, le Tour de France et l’Euro 2024, les sites et applications dédiés au sport ont atteint un nouveau plus haut niveau historique avec 39,9 millions d’internautes, indique l’étude Internet global de Médiamétrie, à comparer aux 56,3 millions d’individus qui se sont connectés à Internet au cours du mois. Le précédent record avait été établi en octobre 2023 durant la Coupe du monde de rugby (38,5 millions de visiteurs uniques mensuels à l’époque).

L’équipe Sport du Shift Project est heureuse de vous présenter la seconde version de son rapport intermédiaire estimant l’empreinte carbone des stades et des matchs de football et de rugby, à la fois professionnel et amateur !

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Les fédérations le sentent déjà, le ministère des Sports et les statisticiens l’anticipent : portés par la ferveur olympique, les Français vont être plus nombreux, en cette rentrée, à commencer ou reprendre une activité sportive, voire à s’inscrire en club. Mais les capacités seront-elles à la hauteur ? Le ministère des Sports et les fédérations se préparent, en collaboration avec les collectivités.

De nombreux travaux scientifiques ont démontré que, pour augmenter ses chances de demeurer en bonne santé, il faut être le moins sédentaire possible et pratiquer une activité physique. Mais qu’en est-il lorsque la qualité de l’air est dégradée ?

Comme pendant les Jeux olympiques, durant les Jeux paralympiques, les sportifs de la délégation française n’auront pas le droit de porter des signes religieux lors des épreuves. La ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castera, a été très claire sur ce point.

La per­for­mance sportive n’est pas stricte­ment con­di­tion­née aux capac­ités physiques et tech­niques d’un ath­lète. Décou­vrez dans cet épisode deux clés de la per­for­mance sportive qui vont bien au-delà du physique : la pré­pa­ra­tion men­tale et l’im­pact du cycle men­stru­el sur les per­for­mances sportives.

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A l’occasion des Jeux olympiques de Paris 2024, notre série de l’été revient sur les articles consacrés à l’héritage olympique en matière d’infrastructures et d'aménagement du territoire. Zoom, aujourd’hui, sur les équipements de proximité.

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La relégation des Girondins de Bordeaux parmi les rangs amateurs représente une énorme secousse dans le football français. Laquelle ne ferait que débuter à en croire Jérémy Moulard, docteur en management du sport professionnel à l’université de Lausanne (Suisse) et consultant (Match-day.ch). Avec des soubresauts à attendre du côté des collectivités…

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Au "Club France", centre névralgique des célébrations des athlètes Français aux Jeux olympiques, situé au Parc de la Villette, à Paris, quelques collectivités ont pris part à la fête. Avant le dernier week-end des Jeux, elles y dressent un premier bilan doré.

La start-up Enhanced Games propose d’organiser la première compétition sportive internationale où toutes les formes de dopage seraient autorisées. De quoi alimenter la polémique, en particulier dans le contexte des Jeux olympiques de Paris. Derrière ce projet transhumaniste, une question demeure : dans une société qui valorise à ce point la performance, pourquoi ne serait-il pas acceptable de se doper librement ? C’est l’une des questions que pose le dernier numéro d’Usbek & Rica, à retrouver en librairies, en Relay, et sur abonnement.

Le manager général de la haute performance à l’Agence nationale du sport estime que les trente minutes de sport par jour ne suffisent pas.

Le sport, ce n'est pas que le haut niveau et la performance. C'est aussi le moyen d'oublier ses problèmes, de se soigner, d'aller à la rencontre des autres, de dépasser ses limites. Le premier épisode de notre série vous entraîne en tournée avec le comité handisport de Côte-d'Or dans les classes de 6e.

Réponse oui. Mais attention les « non binaires » n’étaient pas une catégorie à part avec son propre coefficient.

Cet été, les athlètes français seront sous nos yeux pour tenter de remporter des médailles. Or, leurs performances sont aussi liées à ceux qui ne sont pas directement sous le feu des projecteurs : leurs entraîneurs.

La Région Occitanie, une nouvelle enveloppe de 2,1 M€ pour accompagner les chantiers de construction et de réhabilitation d’une centaine d’équipements sportifs.

L’athlète états-unienne Simone Biles, qui a révolutionné le monde de la gymnastique artistique féminine (GAF), est devenue une icône incontournable du sport olympique – elle vient de remporter l’or par équipes aux Jeux olympiques de Paris, et vise d’autres médailles d’ici à la fin de la compétition.

Dans les agglomérations d’Arras, Bourges, Clermont-Ferrand et Foix, les élus des intercommunalités et leurs partenaires ont participé à une "Fabrique prospective", initiée par France urbaine et Intercommunalités de France et pilotée par l’Agence nationale de la cohésion des territoires, sur les jeunes et les politiques locales qui leur sont dédiées. Un enseignement, notamment, en ressort : la nécessité de clarifier le rôle de chacun.

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Dans une note pour l’Observatoire de l’éthique publique, Régis Juanico, son vice-président, estime qu’il est nécessaire de mettre en place un déontologue du sport. Il avance ainsi neuf propositions pour « avancer rapidement » vers des « progrès démocratiques » dans le sport.

Si les athlètes féminines ont toujours été cadrées différemment, ce serait à cause d'un «biais inconscient».

Décennie après décennie, la jeunesse inquiète. Considérée comme trop politisée et protestataire à la fin des années 1960, elle serait aujourd’hui « trop » dépolitisée et désengagée. Focalisée sur l’abstention, notre vision frôle le catastrophisme. Aujourd’hui comme hier, la jeunesse cristallise les enjeux de son époque et se retrouve au cœur des discours politiques, tous bords confondus, sans qu’on lui dédie pour autant une politique publique cohérente. Et si nous changions nos représentations et cherchions à la comprendre dans sa complexité et sa réalité sociale afin de lui donner toute sa place ?

Les organisateurs l’ont promis : les Jeux olympiques (JO) d’été 2024 qui s’ouvrent à Paris doivent être l’édition la plus respectueuse de l’environnement de l’histoire des Jeux, notamment en émettant au moins deux fois moins de gaz à effet de serre (GES) que les éditions de Londres (2012) ou Rio (2016).

Si vous avez déjà eu l’occasion d’assister à une compétition d’escrime, alors vous savez combien l’atmosphère qui règne sur la piste est électrique. Les déplacements fins et explosifs des athlètes ne font qu’accroître l’intensité du match où tout peut basculer d’une touche à l’autre. En plus d’être un véritable combat physique, l’escrime est aussi un défi mental permanent.

C’est devenu presque banal. Alors que vous regardez, devant votre télé, un match de foot, de tennis ou la finale d’un Grand Prix de Formule 1, plusieurs personnes surgissent soudainement dans le champ des caméras en courant, souvent une banderole à la main, le poing levé en l’air, avant d’être interceptées par la sécurité. Parfois, les commentateurs évoquent des « militants écologistes » et parfois, les caméras changent si rapidement d’angle qu’on les aperçoit à peine.

Comment réduire l’empreinte écologique des Jeux olympiques sans renoncer pour autant à l’organisation du plus universel des évènements sportifs ? Dans son magazine n°43, Usbek & Rica a imaginé et soumis cinq scénarios à un panel de spécialistes.

L’activité physique et sportive a été élevée au rang de Grande Cause Nationale 2024, en marge des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. L’occasion pour Big média de réunir, lors de Sport Définition, le 5 juin dernier, trois acteurs qui luttent, dans leurs activités respectives, contre la sédentarité.