Fin de vie : les directives du malade ne s'imposent pas systématiquement, estime le Conseil constitutionnel
Un médecin n’est pas forcément contraint de respecter les « directives anticipées », par lesquelles un patient exprime sa volonté ou non d’être maintenu en vie, a estimé jeudi 10 novembre 2022 le Conseil constitutionnel, jugeant valide la législation en vigueur.