Oser une culture d'entreprise ouverte
Effet de mode oblige, la culture d’entreprise se décline désormais à toutes les sauces et s’impose de plus en plus comme la clé du bien-être au travail. Parmi les éléments qui la composent, on retrouve la tendance du « cool », cette injonction – voire dictature – de la joie de vivre au bureau. Largement relayée par les médias, elle s’invite dans l’agenda des comités de direction aux chapitres recrutement de talents ou environnement de travail.
Transformation managériale : que peuvent apprendre les entreprises libérées aux administrations et organismes publics ?
La libération des organisations est un mouvement de fond qui concerne aussi bien les start-up, les entreprises que les administrations et organismes publics. Pour l’administration, cette approche managériale reste encore marginale même si, aujourd’hui, près d’une vingtaine d’administrations et organismes se sont déjà lancés dans cette démarche : des directions d’administration centrale à l’étranger (comme le Ministère de la Sécurité Sociale ou le Ministère des Transports en Belgique), des caisses et des opérateurs en France (CPAM des Yvelines, CPAM de l’Aude, Pôle Emploi…), des bailleurs sociaux (Haute Savoie Habitat) et des collectivités territoriales (Région Ile-de-France, Département de la Manche, Villes d’Issy-les-Moulineaux, d’Annemasse, Colomiers…).
Se libérer des croyances de l'Entreprise libérée #2
On ne présente plus ou presque l’entreprise libérée avec ses salariés libres de décider par eux-mêmes des actions à engager sans hiérarchie apparente. Ce courant, découvert par le grand public suite au reportage le bonheur au travail, a déferlé puis c’est solidement ancré dans tout ce qui touche de prêt ou de loin les entreprises à travers les réseaux sociaux, les médias et les diverses associations. En a t-il pour autant vraiment franchi les portes?