Dans les Deux-Sèvres, 82 projets visant à prévenir la perte d'autonomie chez les personnes âgées seront financés par le Département.

Les sénateurs souhaitent augmenter le temps de travail des salariés de sept heures par an pour le même salaire afin de renflouer la Sécurité sociale. Cette proposition repose sur le même principe que la journée de solidarité instaurée en 2004, sans en prendre le nom.

La Ville de Caen prend soin de ses seniors. Elle leur organise, du mardi 5 au vendredi 15 novembre, des journées de prévention de l'autonomie.

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Coopérations avec les collectivités locales, discours de politique générale, crise des Ehpad, attractivité des métiers... Le nouveau directeur général de la CNSA, Maëlig Le Bayon, balaye les sujets de la rentrée et fait part des objectifs de son mandat. Entretien*.

Dans sa nouvelle étude, la Drees fait le portrait des personnes âgées et en situation de handicap bénéficiant d’aides sociales, en venant notamment présenter leurs ressources, leurs conditions de vie ainsi que les prestations dont elles bénéficient.

Le 1er octobre, la CNSA organise une journée intitulée : « Expérimenter au service de la participation des personnes concernées dans le champ de l’autonomie : Enjeux opérationnels, potentialités et perspectives ». L'objectif est de partager les expériences et les enseignements tirés des projets soutenus par la Caisse depuis 2015 pour favoriser la participation des personnes âgées ou en situation de handicap à la gouvernance des structures qui les accompagnent à domicile et en établissement.

Le centre de ressources et de preuves et la Société savante internationale dédiée aux interventions non médicamenteuses, la NPIS (Non-pharmacological intervention society), s’associent afin d’aider les financeurs et les porteurs de projets à identifier et à mettre en œuvre les programmes de prévention qui ont fait la preuve de leur efficacité.

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La chambre régionale des comptes d'Île-de-France publie un rapport d'observations centré sur la MDPH du Val-de-Marne. En réponse, le président du département fait part d'un projet de création d'une maison de l'autonomie.

Le conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) a récemment adopté un avis(Lien sortant, nouvelle fenêtre) sur "la représentation des personnes et leur participation directe dans le champ de l’autonomie". "Cet avis constitue la première étape d’un cadre commun qui permettra à tous les acteurs de la branche (qu’ils soient ou non décisionnaires) et à tous les niveaux, national comme territorial, de disposer d’une méthode et de principes pour associer les représentants des personnes et les personnes elles-mêmes à leurs actions", présente le conseil. Les "principes d’action" actuellement discutés ont vocation à alimenter une "charte de fonctionnement de la participation des personnes aux travaux de la CNSA ainsi que dans la future boîte à outils nationale du SPDA" (service public départemental de l’autonomie).

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Du "courage politique" et une action rapide. Voilà ce à quoi appelle le Cese dans un récent avis. L'instance plaide notamment pour une loi de programmation, une intensification de l'effort national et la pleine concrétisation de la cinquième branche.

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Après le vote des députés de la proposition de loi Bien vieillir, les réactions, et tout particulièrement celles des acteurs du secteur du handicap, sont très mitigées. Intervenant aux assises des soins en Ehpad, Fadila Khattabi défend le texte.

Sept nouveaux projets lauréats du Programme de recherche sur l’autonomie (PPR Autonomie) ont été retenus pour un montant de soutien de 19 millions d’euros.

Pour améliorer les conditions du maintien à domicile des personnes dépendantes, le conseil départemental octroie une enveloppe de 4,6 millions d'euros aux sociétés de services d'aide à domicile.

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Face aux limites de l'allocation personnalisée d'autonomie, le conseil de l'âge milite pour la création d'une "prestation plus universelle, puissante et englobante de soutien à l'autonomie". Dans l'intervalle, il préconise de corriger au plus vite, les "faiblesses" majeures de l'Apa à domicile, en particulier en la déplafonnant.

La dijonnaise Fadila Khattabi a été reconduite au sein du nouveau gouvernement formé par Gabriel Attal, le 8 février dernier. À la tête d'un ministère élargi, aux personnes handicapées et aux personnes âgées, où l'enjeu est important : le maintien à domicile des personnes dépendantes.

La ministre Fadila Khattabi hérite de 2 portefeuilles dans le gouvernement Attal : les personnes handicapées... et âgées ! Des raisons de s'inquiéter ? Jean-René Lecerf, président du Conseil de la CNSA, y voit au contraire une aubaine pour l'autonomie.

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La nomination de Fadila Khattabi comme ministre chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées fait plutôt consensus. Faute d'une loi dédiée à l'autonomie, la création d'un ministère regroupant les deux secteurs est appréciée par les acteurs de tous bords. D'autant que les difficultés structurelles sont communes.

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À l'occasion de sa cérémonie de vœux pour 2024, François Sauvadet, président des Départements de France a insisté sur le besoin d'agir pour la politique d'autonomie. Un travail qui ne peut se faire sans dégager de nouvelles sources de financement.

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Le ministère des Solidarités a annoncé les départements préfigurateurs du Service public départemental de l'autonomie juste avant les fêtes.

Zoom sur le département de la Seine-Saint-Denis, où des tiers-lieux se mobilisent pour les personnes âgées. Explications.

Deux nouvelles lois et une stratégie à long terme : le Gouvernement a présenté vendredi 17 novembre 2023 ses projets pour adapter la société au vieillissement de la population, qui laissent toutefois les acteurs du secteur partagés.

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L'impact du changement climatique, la prévention chez les plus jeunes, la préservation de l'autonomie et l'accès aux soins non programmés sont les quatre priorités ciblées par l'ARS Grand-Est dans son nouveau projet régional.

Dans un avis adopté à la majorité de ses membres, le 12 octobre, le Conseil de l’âge exprime « une position défavorable sur le volet autonomie » du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2024.