Comment le chiffre d'affaires de la culture a-t-il évolué au cours du premier trimestre 2023 ?

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Dix ans ont passé depuis l’inscription du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco et l’ouverture du musée du Louvre-Lens. La transformation du territoire doit concerner les 580 700 habitants du périmètre inscrit, les acteurs publics, économiques, culturels, associatifs et touristiques. Ces deux grands événements concomitants ont enclenché une dynamique de développement nouvelle qui touche de nombreux domaines.

En 2020, le poids économique direct de la culture, c’est-à-dire la valeur ajoutée de l’ensemble des branches culturelles, s’établit à 46,1 milliards d’euros, soit 2,2 % du produit intérieur brut (PIB) de l’ensemble de l’économie. Durant l’année 2020, la culture est particulièrement touchée par la crise sanitaire. Le PIB culturel recule de 7,1% en valeur, soit une baisse plus marquée que celle de l’économie française dans son ensemble (–5,3 %). Mais ce recul en valeur est amorti par l’importance du secteur non marchand et des conventions d’estimation de la valeur ajoutée produite par ce secteur. Mesurée en volume, l’activité des branches culturelles s’est fortement contractée, la valeur ajoutée culturelle diminuant de 15 % en volume, soit une baisse supérieure de 7 points à celle de l’ensemble de l’économie française (–8 %).

Le poids lourd des médias Vivendi, propriétaire d'Editis, numéro deux de l'édition en France, a annoncé lundi son calendrier pour tenter de contrôler totalement le groupe Lagardère, maison mère de Hachette Livre et numéro un de l'édition. Un projet de fusion qui inquiète de nombreux acteurs du monde du livre.

Des indicateurs précis montrent que la culture a des effets positifs sur la citoyenneté et le bien-être des habitants, donc, in fine, sur l'économie d'un pays. Une bonne raison de refondre nos politiques culturelles pour les démocratiser et mieux diffuser l'offre culturelle sur tout le territoire.

Les Journées européennes du Patrimoine ont démarré samedi 18 septembre. Un week-end toujours très attendu et qui permet de récolter des sommes importantes.

Dans son rapport annuel, la Commission de contrôle des organismes de gestion des droits d’auteurs et des droits voisins estime que la pandémie pénalisera encore le monde culturel au-delà de 2021.

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Christophe Bennet a été élu le 12 novembre 2020 président de la Fédération nationale des associations de directeurs des affaires culturelles (Fnadac). Pour la Gazette, il fait le point sur les priorités et les ambitions de cette fédération, alors que la culture est toujours à l'arrêt pour cause de crise sanitaire.

Ordonnance n° 2020-1599 du 16 décembre 2020 relative aux aides exceptionnelles à destination des auteurs et titulaires de droits voisins touchés par les conséquences économiques, financières et sociales de la propagation du virus covid-19 et aux conditions financières de résolution de certains contrats dans les secteurs de la culture et du sport

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Dans le cadre d’un partenariat avec le ministère de la Cohésion des territoires et celui de la Culture, la Fondation du patrimoine va s’engager en 2021 dans le programme Petites villes de demain. Sa directrice générale Célia Vérot en détaille les mesures. L’occasion, aussi, de faire le point sur l’impact de la crise sanitaire sur le patrimoine.

Pour l’Union fédérale d’intervention des structures culturelles (Ufisc), les acteurs du secteur privé non lucratif sont les oubliés du plan de relance gouvernemental. Une lacune qu'elle veut combler par un « plan de revitalisation » publié le 9 novembre et que ses représentants iront prochainement défendre rue de Valois, lors d'un rendez-vous avec la ministre Roselyne Bachelot.

"Allez au théâtre et au cinéma, vous ne risquez rien!", affirme le Premier ministre.

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Les députés ont adopté le 2 juillet la levée d’un peu plus de 50 millions d’euros de crédits qui avaient été mis en réserve de précaution dans le budget de la culture 2020. Les programmes Création et Patrimoines sont concernés.

La chute de chiffre d’affaires du secteur culturel liée à la crise sanitaire est évaluée à 22,3 milliards d’euros par rapport à 2019, ce qui constitue une dégringolade de 25 %.

Les parlementaires réclament un plan de soutien aux activités culturelles de la «même envergure» que celui déployé pour l'industrie.

Les industries culturelles sont parmi les secteurs les plus touchés par la crise du coronavirus, avec une perte de valeur d’ores et déjà comprise entre huit et dix milliards d’euros. Elle intervient de plus dans une période de transition lourde vers le numérique et de redéfinition des modèles économiques.

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Plusieurs universitaires, dont les spécialistes des politiques culturelles Emmanuel Négrier et Aurélien Djakouane, ont cherché à mesurer l’ampleur des pertes économiques induites par les annulations des festivals dues au coronavirus. Ils aboutissent à des estimations annonciatrices d'un choc considérable, qui, dans le pire scénario pourrait atteindre 2,6 milliards d'euros.

Faut-il un New Deal de la culture, pour faire face à la crise économique engendrée par la pandémie de coronavirus ? Nous avons posé la question à Margaret Rung, professeure d’histoire à l’université Rooselvelt à Chicago

Emmanuel Macron et Franck Riester ont annoncé ce 6 mai une série de mesures nouvelles en faveur du secteur de la culture. Un "grand programme de commandes publiques", la prolongation des droits des intermittents jusqu'en août 2021, un fonds d'indemnisation pour les tournages, un "fonds festival" abondé par les collectivités... Le calendrier de réouverture des lieux culturels et artistiques a en outre été réexpliqué.

Certaines compagnies refusent de mettre la main à la poche: la survie de nombreux événements est en jeu.

Face à l’épidémie de coronavirus, l’industrie du tourisme, des loisirs et de la culture est frappée de plein fouet. L’avenir est plus incertain que jamais.

La présidente de la commission de la culture au Sénat, Catherine Morin-Desailly, espère que le gouvernement donnera une date de déconfinement rapide pour les structures culturelles.

Si la filiale française vient de prendre une volée de bois vert, sa réaction n’a pas attendu 24 heures. En effet, suite au jugement du tribunal judiciaire de Nanterre, Amazon France se voit interdire la vente — donc la livraison — de tout ce qui n’est pas produit de première nécessité. Les livres, une fois de plus, sont les grands sacrifiés.

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Les professionnels du spectacle vivant sont de plus en plus nombreux à réclamer au ministère de la Culture une clarification des perspectives de maintien ou d'annulation des festivals dans les semaines à venir. L'objectif est de permettre aux organisateurs de limiter les pertes financières autant que faire se peut.

Dans l'incapacité d'exercer leur activité, les conférenciers déplorent ne pas être éligible au fonds d'aide créé par le ministère de la Culture.