Archéologie: y a-t-il des faux dans les musées ?
L’étude des faux constitue un champ de recherche original, comme en témoignent les travaux de l’anthropologue Emanuela Canghiari, chercheuse au Fonds de la Recherche Scientifique (FNRS, ISPOLE / UCLouvain). Auteur d’une thèse en anthropologie à l’EHESS intitulée La dialectique des restes : circulation, trafic et appropriation des vestiges archéologiques au Pérou, consacrée à la question du pillage des tombes précolombiennes, elle se concentre aujourd’hui sur une autre activité illicite : la falsification des pièces archéologiques.
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