Encastrée dans le rocher depuis des siècles, l’épée qui est traditionnellement considérée comme celle de la chanson de Roland a disparu le 22 juin dernier.

En 2019, un homme dérobe à Paris une œuvre peinte par Banksy au dos d’un panneau de signalisation. L'accusation a requis en conséquence 18 mois de prison dont 10 avec sursis et 50.000 euros d'amende.

L’institution présentera, du 15 février au 15 juin, une sélection de 10 pièces parmi les centaines retrouvées lors de la vaste opération de recherche lancée depuis l'annonce en août de la disparition de quelque 2000 pièces.

À l’instar de nombreux établissements en Europe, la BNF a vu certaines éditions d’auteurs russes disparaître de ses rayonnages. Une plainte a été déposée.

L’association parisienne Lumière sur le patrimoine a porté plainte au tribunal judiciaire de Rouen contre trois musées américains pour recel de vol concernant six vitraux qui auraient été dérobés dans la cathédrale de Rouen il y a plus d’une centaine d’années.

Le suspect serait un marchand israélien de montres de luxe âgé de 68 ans que la police belge désigne sous le nom de «Daniel Z».

Une enquête sur le secrétaire d'État à la Culture Vittorio Sgarbi a été ouverte, suite à des soupçons visant l'exposition d'un tableau aux origines douteuses.

Chaque année, des objets sont dérobés dans des musées français. Comment expliquer ce phénomène ? Comment lutter contre ce fléau ? Les équipes du 20 Heures ont enquêté.

Trois aquarelles sur papier dont l'une est estimée jusqu'à 2,5 millions de dollars, seront mises aux enchères le 9 novembre, tandis que trois autres œuvres sur papier seront cédées deux jours plus tard.

L'homme, âgé de 30 ans, a travaillé au Deutsches Museum de Munich, de 2016 à 2018. Le tribunal l’a condamné à une peine de 21 mois de prison avec sursis.

L’institution a diffusé des photos d'objets ressemblant à certaines des pièces volées dans ses collections en sollicitant le public pour l'aider à les récupérer.

La Cour suprême de l’Etat de New York estime qu’il « existe des motifs raisonnables de croire » que ces dessins de l’artiste autrichien « sont volés ». La propriété des œuvres est réclamée par les héritiers d’un collectionneur et artiste juif, mort à Dachau en 1941.

Une association de défense du patrimoine a déposé plainte pour «vol et recel de vol» après avoir découvert la disparition de ces deux joyaux. Son président raconte son enquête.

Le scandale qui secoue le British Museum a stupéfié le monde entier. Comment est-il possible qu’on ait pu y dérober au moins 2 000 pièces, pour certaines plurimillénaires ? Rien de plus simple, en réalité, si l’on en croit un journaliste du “Times”. Notre récit en vidéo.

Depuis la mi-août, le British Museum est au cœur d’un scandale après le vol d’environ 2 000 objets de ses collections. Un vol dont on soupçonne qu’il a été commis au sein même de l’institution sur une période de vingt ans. Alerté de la vente d’objets présumés volés dès 2021, le musée n’a pris des mesures que début 2023.

Le 16 août 2023, l’un des plus grands musées du monde, le British Museum de Londres, annonçait la mystérieuse disparition d’environ 2 000 pièces de ses collections. Certaines se seraient retrouvées sur le site d’enchères en ligne eBay et le musée semblait au courant depuis 2021. On fait le point sur cette affaire rocambolesque.

«Les voleurs ont utilisé une échelle et cassé le volet de la pièce où se trouvaient les bijoux», selon le procureur de Grenoble. Le montant du préjudice est pour le moment inconnu.

La police de Hostomel a pu récupérer le bout de mur signé par le street artist, découpé par les voleurs.

Ce robot quadrupède va notamment patrouiller la nuit pour lutter contre les pilleurs d'antiquités.

Identifiées lors de la succession d'un collectionneur égyptophile, ces différentes pièces avaient été illégalement arrachées à leur pays d'origine après leur découverte par des pilleurs.

Chaque année, 20 à 30 tableaux seraient dérobés dans les musées. Le sujet est toutefois tabou, et certains cambriolages restent bien mystérieux.

Dimanche 23 mai 2021, les équipes du musée des beaux-arts de Rouen se sont aperçus qu'un tableau, d'une valeur de 30 000 euros, avait disparu. Une enquête est ouverte.

Les chercheurs Pierre Losson et Felicity Bodenstein estiment que Paris « marque le pas dans sa volonté de mener à bien » les restitutions de biens africains spoliés.

"Même le Covid n'a pas arrêté les voleurs de beauté", ont commenté les carabiniers transalpins spécialisés dans la protection des biens culturels en faisant le bilan de leurs prises, jeudi 29 avril.