Le rapport remis, au printemps dernier, à la ministre de la Culture par Martine Faure, députée (PS) de la Gironde, et intitulé "Pour une politique publique équilibrée de l'archéologie préventive" (voir notre article ci-contre du 4 juin 2015) le laissait déjà entendre : non seulement la part de l'Inrap (Institut national de recherche et d'archéologie préventive) ne cesse de reculer face à la concurrence d'autres opérateurs, mais son chiffre d'affaires recule également en valeur absolue. Le rapport d'activité 2014 de l'organisme confirme, en l'amplifiant encore, cette évolution.