Rentrée scolaire 2023 : la Défenseure des droits demande l'affectation de tous les lycéens
La Défenseure des droits a demandé jeudi 6 juillet 2023 au ministère de l'Education de "mettre fin" à la non affectation de lycéens en France, qui concerne chaque année des centaines d'élèves qui ne peuvent aller en cours au moment de la rentrée de septembre. Malgré l'augmentation conséquente du nombre de lycéens non affectés à la rentrée 2022 (+33% par rapport à 2021), le ministère, cité, maintient qu'"un égal accès de l'ensemble des candidats est garanti, quel que soit le lieu de domiciliation".
Du rap à Rimbaud ou de Baudelaire au slam : les lycéens, des poètes contemporains ?
À constater son absence dans des listes de best-sellers monopolisées par romans ou essais, à voir la place très discrète qu’elle tient dans les rayons des librairies, on pourrait se dire que la poésie est aujourd’hui en perte de vitesse. Le genre n’a certes plus dans l’espace public l’aura qu’il avait par le passé, et la crise de la poésie est devenue l’un des motifs obligés du discours sur cette même poésie contemporaine, comme l’a montré Jean‑Marie Gleize.
Littérature : s’approprier les classiques, un défi pour les lycéens
« Les jeunes d’aujourd’hui ne lisent plus ! » Ponctué d’un soupir aigri, ce refrain bien connu est souvent complété par des considérations sur les méfaits d’Internet – sans envisager d’ailleurs une seconde que naviguer sur le Web puisse mobiliser des compétences de lecture. Ces propos peuvent aussi se conclure par une interrogation énervée : « Mais que font leurs professeurs de français ? »
La classe avenir construit un enseignement sur mesure pour des lycéens autistes
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Au lycée Honoré-de-Balzac à Paris, un dispositif unique en France accueille six jeunes qui ne trouvaient leur place ni en classe ordinaire ni en institut médico-éducatif. Pour le construire, AFG autisme s'est inspiré du fonctionnement des UEMA.
Mouvement lycéen : retour sur quelques mobilisations historiques
Les mouvements lycéens, lorsqu’ils ont quelque ampleur, ne sauraient se réduire à de la « manipulation » ou de la « contagion » comme certains le croient (ou veulent le faire accroire). Pour avoir quelque chance d’en sortir par le haut, le mieux est de tenter de les comprendre dans leur physionomie propre, leur « tempo » et leur « géographie » évolutive. Les comparer à d’autres mouvements d’importance historique peut aider à en saisir la singularité.
Citoyenneté : les lycéens veulent être utiles mais boudent les formes traditionnelles d'engagement
Le Conseil national d'évaluation du système scolaire publie une grande enquête sur l'engagement civique et la confiance des lycéens dans les institutions. On y trouve quelques surprises.