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Le mécontentement gronde dans les services et les lycées de la région Occitanie. L'intersyndicale CFDT-CGT-Sud-Unsa a appelé les agents à faire grève ce 14 février. En cause, la dégradation des conditions de travail liée à des réorganisations incessantes et aux problèmes de santé au travail.

Les syndicats réclament notamment plus de moyens humains et budgétaires et dénoncent l'alignement du délai de carence avec le privé.

Les syndicats enseignants ont déposé lundi 14 octobre 2024 une « alerte sociale », préalable à un préavis de grève, sur le budget 2025 de l’Éducation nationale, qui prévoit la suppression de 4 000 postes, estimant qu’une « ligne rouge est franchie ».

Cette « alerte sociale » est le préalable au dépôt d’un préavis de grève national unitaire, à compter du 4 novembre et jusqu’au lundi 31 mars. Le budget 2025 prévoit la suppression de 4 000 postes d’enseignants.

Deux ans après son départ du ministère de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer est revenu dans un livre sur son expérience politique «au cœur du gouvernement». L’ancien ministre y décrit les curieuses confidences d’un représentant syndical de professeurs.

Les syndicats d’enseignants de Seine-Saint-Denis ont déploré, jeudi 5 septembre 2024, une « rentrée catastrophique » et appellent à la grève le 10 septembre, relançant leur mouvement initié au printemps en faveur d’un plan d’urgence pour l’enseignement public du département, le plus pauvre de France métropolitaine.

Trois syndicats enseignants ont appelé lundi 26 août 2024 à la grève dans les écoles maternelles et élémentaires le 10 septembre 2024 pour dénoncer la généralisation des évaluations dans les classes allant du CP au CM2, a-t-on appris auprès de la FSU-Snuipp.

L'Association des professeurs de Sciences Économiques et Sociales prévoit une mobilisation durant l’épreuve du Grand oral, déplorant que l’Éducation nationale reste «sourde» aux demandes «d'allègement des programmes de spécialité».

Deux mois après le début du mouvement, l’intersyndicale enseignante appelait à une nouvelle journée de mobilisation ce lundi 22 décembre en Seine-Saint-Denis. Enseignants, syndicats et élus de gauche estiment que les solutions du gouvernement ne sont pas à la mesure des difficultés « hors normes » que connait le secteur de l’enseignement dans ce département.

Opposés à la mise en place de groupes de niveaux en français et en maths, des enseignants du collège Michelet, à Lisieux (Calvados), ne feront pas cours vendredi 12 avril 2024.

Au collège Henri-Brunet de Caen (Calvados), les enseignants sont mobilisés contre le "choc des savoirs" voulu par le gouvernement. "C'est un changement idéologique", dénoncent-ils.

Des syndicats d'enseignants ont appelé, ce mardi, à la grève et à manifester le 2 avril pour demander l'abandon des mesures du "choc des savoirs", en particulier les groupes de niveau au collège, mais aussi pour les salaires et des moyens pour l'école publique.

Mercredi 7 février 2024, élèves et enseignants du collège de Villers-Bocage (Calvados) se sont rassemblés pour s'opposer au projet de réforme de l'éducation du Gouvernement.

Le maintien de la ministre de l'Éducation et des Sports est incertain dans le cadre du remaniement à venir, alors que les syndicats ont appelé à une nouvelle grève des enseignants.

Les syndicats Snes-FSU, CGT et SUD ont appelé à une nouvelle grève dans l’Éducation nationale mardi 6 février 2024 pour défendre les salaires et s’opposer à la politique éducative au collège, après une grève qui a mobilisé jeudi 1er février un enseignant sur cinq.

Plusieurs syndicats souhaitent reconduire la grève dans l’Éducation nationale mardi, après une première mobilisation jeudi 1er février.

C’est au collège que la mobilisation est la plus importante, avec 29 % d’enseignants grévistes selon le ministère – les syndicats en recensent 47 % en collège et lycée.

Programmé depuis le 22 décembre, le mouvement promet d’être suivi. Les premiers pas de la ministre à l’éducation ont largement alimenté la colère.

Les enseignants du primaire annoncent une grève jeudi, lançant un «avertissement au gouvernement» au sujet des conditions de travail et de la suppression de nombreux postes. Des manifestations doivent avoir lieu dans plusieurs villes.

Après la polémique déclenchée par les propos de la nouvelle ministre, un appel à la grève des personnels de l’Éducation nationale, lancé début janvier, vient d’être réactivé par plusieurs syndicats.

Dans une réponse à une question parlementaire, le ministère de l'Éducation nationale précise qu'il ne compte pas réviser le calcul de la compensation pour les frais d'accueil supportés par les communes lors des grèves des enseignants dans les écoles publiques. Selon lui, certaines collectivités seraient même gagnantes lors de ces grèves.

Le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, prévoit que « plus de 60 % » des enseignants du premier degré seront grévistes et que « plusieurs milliers d’écoles » seront fermées mardi 7 mars 2023, pour la sixième journée d’actions qui s’annonce massive contre la réforme des retraites, a-t-il indiqué lundi 6 mars.

L’intersyndicale de l’éducation, regroupant les sept principaux syndicats enseignants, a appelé mardi 14 février 2023 à ce que les grèves permettent de « fermer totalement les écoles, collèges, lycées et services » le 7 mars 2023, si le Gouvernement et le Parlement « restent sourds » à la mobilisation contre la réforme des retraites.

Une centaine d’enseignants de lycée ont manifesté mercredi 25 janvier 2023 à proximité du ministère de l’Éducation nationale à Paris pour dénoncer la tenue des épreuves de spécialité du baccalauréat en mars, qui empêche selon eux de préparer les épreuves dans de bonnes conditions.

À Paris, le syndicat SNUipp-FSU estime qu'au moins un tiers des écoles seront fermées et que 70 % des enseignants devraient faire grève. Des enquêtes ont été lancées par le syndicat pour estimer la mobilisation en province.