La veille professionnelle sélectionnée pour vous
Your new post is loading...
Avec l’appui de la CNSA, 5 maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) volontaires expérimentent un questionnaire complémentaire au formulaire de demande à la MDPH et au certificat médical pour les personnes en situation de handicap en raison d’altération des fonctions mentales, psychiques, cognitives, dont les troubles neuro-développementaux.
Pour la première fois, en Dordogne, une "Journée pour les aidants" était organisée à Périgueux ce lundi 22 septembre, pour permettre aux aidants, qui s'occupent de personnes en situation de handicap, de partager leurs difficultés. Huit aidants sur 10 en Dordogne sont des femmes.
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Par méconnaissance des particularités de l'autisme, les clubs sportifs sont souvent réticents à accueillir les jeunes concernés. Pour lever les freins, AFG Autisme a développé des dispositifs qui accompagnent familles et clubs.
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Le 18 septembre, France Travail, Cheops, le réseau des Cap emploi, les missions locales et la Fagerh ont signé à Lyon une convention nationale pour faciliter l'accès à la formation et à l’emploi des personnes en situation de handicap.
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Avec 26 000 élèves en situation de handicap — soit + 9% par rapport à 2024 —, la région des Pays de la Loire a décidé pour cette rentrée de renforcer leur inclusion. Elle a dévoilé le 11 septembre dernier ses principales pistes.
Pour enfin amorcer le virage domiciliaire, une réorientation complète de notre modèle de soutien à l’autonomie des personnes âgées est nécessaire, pour l’Institut Santé présidé par l’économiste Frédéric Bizard. Un pilotage par les besoins, et non plus par l’offre, est préconisé pour consacrer suffisamment de moyens à la prévention et assurer la soutenabilité du système - avant le "mur de 2030".
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Réponse du ministère chargé de l’Autonomie et du handicap : En France, 8 à 11 millions de personnes soutiennent un proche en situation de handicap, en perte d’autonomie ou avec une maladie chronique ou invalidante. Avec le vieillissement de la population, le virage domiciliaire et l’enjeu d’une société pleinement inclusive des personnes en situation de handicap, les proches aidants sont de plus en plus nombreux et sollicités. Les jeunes aidants apportent à leur proche une aide parfois comparable à celle d’un adulte.
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
La nouvelle commission d’enquête « sur les défaillances des politiques publiques de prise en charge de la santé mentale et du handicap » a auditionné Philippe Gouet, président du groupe de travail sur la santé de Départements de France et Sylvie Clerc, vice-présidente en charge du handicap pour le département du Nord. En ligne de mire : la prise en charge de la santé mentale des jeunes relevant de l’aide sociale à l’enfance et l’insuffisante compensation par l’État des politiques du handicap.
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Avec une hausse des besoins de solidarité et la baisse des compensations de l'État, les départements craignent de devoir rogner sur les budgets dédiés au handicap. Ils ont aussi des besoins en termes de santé mentale pour la protection de l'enfance.
La délégation interministérielle à la stratégie nationale pour les troubles du neurodéveloppement (TND - autisme, troubles DYS, TDAH, TDI) publie un guide portant sur la « guidance parentale dans les TND ».
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
Cédric Vial, sénateur (SE, rattaché aux LR) de la Savoie, revient sur la prise en charge, par l’Etat, des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH).
Catherine Galopin assistante sociale, nous rappelle dans ce « Point de vue » que les aidants familiaux sont surtout des aidantes. Ce sont majoritairement des femmes qui mettent entre parenthèse leur parcours professionnel pour aider un(e) proche dans le besoin. La co-autrice du livre « engager ses émotions dans la relation d’aide » nous parle des coûts cachés d’être aidante. Ils sont bien plus importants qu’ils n’y paraissent…
« Il est temps de sortir d'une approche fragmentée et de bâtir une réponse cohérente, à la hauteur des besoins ». C'est l'ambition de la ministre déléguée au Handicap, Charlotte Parmentier-Lecocq qui, dans un courrier adressé le 24 juillet dernier à Paralysie cérébrale France, annonce « souhaiter que la paralysie cérébrale soit inscrite comme priorité de [sa] politique ». Pour cela, elle entend « structurer une filière » dédiée à ce handicap.
Elle rêvait d'olympisme mais le revers de sa médaille, c'est un handicap à vie, pour avoir mis son corps à rude épreuve pendant plusieurs années. Aujourd'hui, Kenza Chaal souhaite libérer la parole sur les risques du sport de haut niveau.
Depuis la rentrée scolaire 2024, la loi du 27 mai 2024 impose à l'État de financer la rémunération des personnes qui accompagnent les élèves en situation de handicap (AESH), "durant le temps scolaire et le temps de pause méridienne". Mais, un an plus tard, dans certains départements l'État ne prend toujours pas ce coût en charge, ce qui oblige parfois les communes à assurer elles-mêmes le financement des AESH. Le 28 août 2025, à la veille de la rentrée scolaire, le sénateur Cédric Vial (Savoie), à l'origine du texte, a pris l'initiative d'adresser un courrier à la ministre de l'Éducation nationale alors en place, Élisabeth Borne, pour lui demander de veiller à son application.
Réponse du ministère chargé de l’Autonomie et du handicap : La Prestation de compensation du handicap (PCH), créée par la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées et mise en place depuis le 1er janvier 2006, est attribuée aux personnes en situation de handicap répondant à plusieurs conditions cumulatives, portant à la fois sur le lieu de résidence, l’âge et la nature du handicap.
[Article en accès libre réservé aux agents du CD14]
En cette rentrée 2025, le Conseil national consultatif des personnes handicapées crée un conseil des enfants. Il sera composé de onze enfants en situation de handicap de 8 et 12 ans amenés à faire des propositions sur la thématique de leur choix.
En fonction des critères retenus, entre 250 000 et 2, 3 millions de jeunes âgés de 5 à 20 ans sont en situation de handicap. Une chose est sûre, en revanche : dans cette tranche d’âge, ils sont 4 % à avoir obtenu une reconnaissance administrative de leur handicap.
Le secteur du handicap reste le premier employeur privé non lucratif sanitaire et social en France, mais ses effectifs n'ont progressé que de 3,1 % % entre 2018 et 2024. Une croissance modeste à l'aune des enjeux du médico-social.
Fin juillet, la Caisse nationale d’allocations familiales a fait machine arrière. Oui, les parents d’enfants handicapés ont le droit de toucher le complément d’AEEH même lorsqu’ils perçoivent des indemnités journalières pour arrêt de travail lié à une maladie ou un accident. Fin décembre 2024, elle avait publié une instruction assurant le contraire. Mais pour d’autres revenus − maternité, chômage… −, le cumul c’est toujours non.
Face à l’obligation légale d’emploi de personnes en situation de handicap, de plus en plus d’entreprises mentionnent désormais « tous nos postes sont ouverts aux personnes en situation de handicap » dans leurs offres. Si cette formulation s’inscrit dans une stratégie globale d’inclusion professionnelle, elle pose une question fondamentale : traduit-elle une réelle volonté d’agir ou est-elle le reflet d’un coup de communication ?
