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Pour répondre aux besoins d’autonomie et de mobilité des personnes en situation de handicap ou isolées, le Centre communal d’action sociale (CCAS) de Mâcon (Saône-et-Loire) redistribue des téléphones mobiles configurés spécifiquement pour ce public.
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Dissocier les dossiers enfants, adultes et renouvellements, permettre le remplissage en ligne, aiguiller la rédaction du projet de vie et ouvrir aux paramédicaux la partie du dossier jusqu'alors réservée aux médecins… telles sont les pistes envisagées à mi-parcours par la task force dédiée à la simplification des démarches au sein des MDPH.
Des chercheurs chinois ont identifié une anomalie génétique chez les patients atteints de la maladie de Charcot ou sclérose latérale amyotrophique (SLA). Une avancée dans la compréhension de cette pathologie sans traitement. Avec, à la clé, la possibilité de mieux la prendre en charge.
Le document sorti de la commission des Affaires sociales entend permettre à des malades, avec une «affection grave et incurable» et ne supportant plus leurs souffrances, de recevoir ou de s’administrer une substance létale.
Pour répondre aux besoins d’autonomie et de mobilité des personnes en situation de handicap ou isolées, le Centre communal d’action sociale (CCAS) de Mâcon (Saône-et-Loire) redistribue des téléphones mobiles configurés spécifiquement pour ce public.
En cas de séparation des parents, l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé ne peut être versée qu’à l’un des deux. Même en cas de garde alternée. Idem pour la PCH qui peut toutefois couvrir les besoins de compensation chez chacun des parents… sous réserve qu’ils arrivent à se mettre d’accord.
C'est une première dans l'histoire du cinéma. Adam Pearson, acteur britannique atteint d'une maladie qui déforme son visage, incarnera Joseph Merrick dans une nouvelle adaptation du film "Elephant man". Un tournant historique ? Réponse en 2027.
L’habitat inclusif Maison Sainte-Claire est l’une des toutes premières résidences pour personnes sourdes et malentendantes avec handicaps associés. Situé à Caluire-et-Cuire, ce dispositif vise à favoriser l’autonomie des personnes accueillies et à lutter contre l’isolement.
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Depuis 2019, annonces et déceptions se succèdent alors que divers plans et feuilles de route dédiés aux maladies neurodégénératives devaient voir le jour. Le Gouvernement se mobilise de nouveau sur le sujet, annonçant une stratégie quinquennale d'ici la fin du premier semestre. Face à cette promesse, les représentants des usagers restent prudents.
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Dans un entretien à « La Gazette des communes », la ministre déléguée chargée de l’Autonomie et du Handicap, Charlotte Parmentier-Lecocq, précise les contours et les ambitions du comité de suivi de la Charte d’engagement pour une société pleinement accessible. Ce comité, lancé le 30 avril dernier, était prévu par la Conférence nationale du handicap (CNH) de 2023.
Une plateforme inaccessible qui complique la prise de rendez-vous. Des refus de prise en charge par des professionnels de santé, qui se disent non formés ou pas équipés. Des préjugés et des diagnostics retardés… Explicites ou plus sournoises, les discriminations dans l’accès aux soins et la prise en charge médicale des personnes en situation de handicap s’avèrent nombreuses. Dans son nouveau rapport, rendu public le 6 mai, la Défenseure des droits émet notamment des recommandations pour les prévenir et informer les patients sur leurs droits.
Les députés ont adopté en première lecture une loi renforçant l'inclusion scolaire des élèves handicapés. Au cœur du texte : la généralisation des pôles d'appui à la scolarité, malgré des critiques sur leur évaluation et la méthode.
La pression mise par les départements le 16 avril dernier (voir notre article) a, au moins partiellement, payé. Départements de France (DF) demandait en particulier la compensation intégrale des dépenses résultant de l’extension de la prime Ségur en juin 2024 (voir notre article). C’est finalement la moitié de ces dépenses qui sera prise en charge par l’État, à travers un soutien à hauteur de 85 millions d’euros de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) aux départements à compter de 2025 – le surcoût lié à l’accord "Ségur pour tous" étant estimé à 170 millions d’euros pour la part départementale de tarification des établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) associatifs.
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Le Premier ministre signe une circulaire soulignant que l'accès aux droits des personnes handicapées doit être une priorité de l'action gouvernementale. Il invite les hauts fonctionnaires à collaborer étroitement avec le conseil national consultatif.
Aller au travail, chez des amis, faire ses courses, se rendre à un spectacle, partir en vacances… La voiture est synonyme de liberté. Grâce aux avancées technologiques et à l’ingéniosité des constructeurs et des fabricants d’équipements, la conduite est accessible à de plus en plus de personnes en situation de handicap.
La loi sur la société du bien-vieillir, adoptée en avril 2024, consacre le droit des proches de résidents d’établissements médico-sociaux à leur rendre visite sans en avertir la direction. Cette dernière resterait toutefois libre d’imposer des créneaux horaires pour les visites, mais celles-ci doivent être autorisées tous les jours de la semaine.
Clubs éloignés, gymnases peu accessibles ou crainte de se lancer... Il reste encore des freins à lever pour renforcer l'accès au sport des personnes handicapées, estiment les associations, qui reconnaissent toutefois une amélioration de la situation.
Coupes budgétaires massives, réduction des programmes d'inclusion, libération d'un langage stigmatisant... Il ne fait pas bon vivre aux États-Unis quand on est en situation de handicap sous l'ère Trump. Témoignages après quatre mois d'investiture.
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Le Conseil national consultatif des personnes handicapées a rendu un avis favorable avec réserves sur le projet de décret portant sur la généralisation du relayage. Ce dispositif est toujours en suspens depuis la fin de l'expérimentation.
Le présent vadémécum s’inscrit dans la continuité de celui publié par la CNSA en mars 2018. Objet d’une commande conjointe du ministre de l’Éducation nationale et de la secrétaire d’État chargée des personnes handicapées, ce premier opus avait pour objectif de faciliter la scolarisation des élèves en situation de handicap à l’école.
La loi du 11 février 2005 a instauré des obligations en matière d’accessibilité et de lutte contre les discriminations en faveur des personnes en situation de handicap (PSH). 20 ans plus tard, pour que l’accessibilité pour tous devienne une réalité, il est essentiel d’impliquer les personnes en situation de handicap dans la conception des solutions.
Ce vendredi 25 avril 2025, les enfants de l’école maternelle Jacques Prévert de Saint-Pierre-de-Varengeville (Seine-Maritime) n’ont pas eu cours. Les parents d’élèves se sont mobilisés devant l’établissement pour protester contre les délais de traitement de la MDPH (maison départementale pour les personnes handicapées).
Plus que jamais, la France doit envisager l'inclusion comme un projet collectif majeur. Face à des modèles régressifs, comme aux USA, Hamou Bouakkaz, militant associatif aveugle, appelle dans une tribune à réaffirmer notre capacité à vivre ensemble.
Le 27 mai 2025, le suffrage des députés sera sollicité pour deux propositions de lois relatives à la fin de vie : l’une en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté, l’autre à propos des soins palliatifs et d’accompagnement. Retour sur dix points de vigilance éthique à prendre en compte durant les débats.
