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Près de 75% des résidents en Ehpad ont des ressources inférieures au coût de leur hébergement. La solidarité familiale est parfois insuffisante. L'aide sociale à l'hébergement (ASH) peut alors être demandée. Mais, face aux difficultés de nombreuses familles à en bénéficier, quelles pourraient être les pistes d'amélioration de ce dispositif ?
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Plutôt que de fermer les Ehpad et de laisser les personnes âgées seules à domicile, l'AD-PA, la Fnaqpa et le cabinet conseil Gerontim proposent une approche domicilaire. Transformer ces lieux de soins en un lieu de vie est un enjeu d'attractivité pour les résidents mais aussi pour les personnels en redonnant du sens à leur travail.
Le Kisunla, basé sur la molécule donanemab et développé par le groupe Eli Lilly, constitue, avec le Leqembi (lecanemab) de Biogen et Esai, la principale nouveauté des dernières années en matière de traitements contre la maladie d’Alzheimer.
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Lors d'un colloque sur Alzheimer au Palais Bourbon à Paris, l'association Baluchon France réclame des financements publics pour le baluchonnage, alors que le décret paru en août sur le relayage n'en prévoit pas. Le coût pour six jours est de 4 500 €.
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La probabilité pour les personnes âgées d'avoir des prescriptions potentiellement inappropriées à leur entrée en établissement est forte. C'est ce que démontrent les résultats d'une étude menée par l'Institut de recherche et de documentation en économie de la santé. Plusieurs pistes d'amélioration sont suggérées dont la réévaluation médicamenteuse.
Pour la première fois, en Dordogne, une "Journée pour les aidants" était organisée à Périgueux ce lundi 22 septembre, pour permettre aux aidants, qui s'occupent de personnes en situation de handicap, de partager leurs difficultés. Huit aidants sur 10 en Dordogne sont des femmes.
Une étude de la direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (Drees) met en lumière la concentration croissante du marché dans le secteur des Ehpad privés commerciaux, et les disparités territoriales, sociales et financières qui en découlent. Une radiographie précieuse pour les familles confrontées au casse-tête du choix d’un établissement pour leurs proches.
Les plus âgés souffrent, eux aussi, de problèmes de santé mentale et sont même, de loin, celles qui se suicident le plus en France. L'association "Petits frères des pauvres" a ouvert, il y a déjà plusieurs décennies, une ligne d'écoute dédiée aux plus de 50 ans pour faire face à cette situation.
Sur les cendres de l'Ehpad de Dordives, dans l'Est du Loiret, est en train de se créer une solution alternative "au tout Ehpad et au tout domicile". Un entre deux, nouveau en Centre-Val de Loire.
Réponse du ministère chargé de l’Autonomie et du handicap : Les personnes âgées de plus de 75 ans représentent un habitant sur dix aujourd’hui ; elles représenteront un habitant sur six en 2050. Et d’ici à la fin de la décennie, notre pays devrait compter plus de 200 000 personnes supplémentaires en perte d’autonomie. De surcroît, plus de 80 % des Français expriment leur souhait de pouvoir vieillir à domicile.
Les trois quarts des personnes interrogées par la Drees en 2023 n’envisageaient pas de vieillir en établissement pour personnes âgées. Du côté de l’entourage, la tendance est encore plus forte puisque 81% excluaient la vie en établissement pour leur proche.
Pour enfin amorcer le virage domiciliaire, une réorientation complète de notre modèle de soutien à l’autonomie des personnes âgées est nécessaire, pour l’Institut Santé présidé par l’économiste Frédéric Bizard. Un pilotage par les besoins, et non plus par l’offre, est préconisé pour consacrer suffisamment de moyens à la prévention et assurer la soutenabilité du système - avant le "mur de 2030".
Les trois-quarts des Français ne souhaitent pas vivre en institution en cas de perte d’autonomie, et seuls 19 % envisageraient cette option pour un proche. Par ailleurs, près de 70% d’entre eux estiment que l’Etat doit financer les coûts liés à la dépendance. Ces chiffres sont issus d’une enquête d’opinion présentée par la Drees. Communiqué de presse (ci-dessous).
La société a besoin de ses personnes âgées, qui contribuent de façon active à la vie politique, associative, sociale et économique et à la vie des territoires, met en lumière le Conseil de l’âge dans son dernier rapport. Mais la participation des seniors marque le pas ces dernières années, d’où des propositions et un appel à promouvoir les différentes formes d’engagement notamment auprès des populations qui en sont le plus éloignées.
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Réponse du ministère chargé de l’Autonomie et du handicap : En France, 8 à 11 millions de personnes soutiennent un proche en situation de handicap, en perte d’autonomie ou avec une maladie chronique ou invalidante. Avec le vieillissement de la population, le virage domiciliaire et l’enjeu d’une société pleinement inclusive des personnes en situation de handicap, les proches aidants sont de plus en plus nombreux et sollicités. Les jeunes aidants apportent à leur proche une aide parfois comparable à celle d’un adulte.
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Le groupe Caisse des dépôts prévoit de mobiliser 25 milliards d’euros sur cinq ans pour accompagner le vieillissement de la population et financer les acteurs du soin et les innovations en santé. En son sein, la Banque des Territoires doit contribuer à hauteur de 4,5 milliards à cette feuille de route pour l’autonomie et la santé.
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La recherche sur Alzheimer commence à s'intéresser aux caractérisations sociales des patients, et notamment le genre, alors que la prévalence de la maladie est supérieure chez les femmes. Au-delà des facteurs biologiques et hormonaux, les stéréotypes de genre influencent le travail diagnostique
De la gestion collective des congés à l’accueil des nouveaux agents, en passant par la formation ou la cohésion d’équipe, l’ensemble des pratiques managériales du Centre intercommunal d’action sociale du pays de Fénelon a été repensé. Les résultats sont là : chute du turn-over des agents, baisse des arrêts maladie, esprit d’équipe, et aucune difficulté de recrutement.
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Puisqu'un gouvernement manque encore pour répondre aux besoins de la dépendance, les acteurs du grand âge doivent se contenter des « petits pas » des dernières années. Retour sur « l’instant politique » organisé à la rencontre annuelle des professionnels, à Paris.
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Des voyages culturels à distance et en direct sont proposés aux résidents des maisons de retraite. Grâce à la visioconférence, l'application Travel me offre aux personnes âgées et à leurs accompagnants un temps d’évasion, leur permettant l'interaction avec le guide. Cependant, les contraintes techniques peuvent altérer la qualité de la transmission.
Une pensionnaire de 89 ans s'est retrouvée embarquée dans une course en fauteuil roulant, juchée sur les genoux d'une des aides-soignantes et poussée à vive allure par une autre. La vidéo tournée ce jour-là a été découverte huit mois plus tard par la direction.
