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En quête d'une solution de répit ? Le baluchonnage consiste à faire venir un professionnel formé au domicile d'une personne dépendante pour soulager son aidant. Focus sur ce dispositif à l'occasion de la Journée nationale des aidants du 6 octobre.
Face au vacarme politique, le vieillissement de notre population et les difficultés du secteur de l’accompagnement du Grand âge sont encore trop peu entendus. Les fédérations et organisations du secteur, dont l'Unccas, ont décidé d’unir leur voix, plus intensément encore qu’en 2024, pour appeler à une prise de conscience populaire : quel choix de société souhaitons-nous pour les personnes âgées d’aujourd’hui et de demain ?
Si les dépenses liées à l’aide à domicile ont davantage augmenté, les dépenses de soutien à l’accueil en établissement restent majoritaires pour les personnes handicapées, selon les dernières données publiées par la Drees. La dépense d’allocation personnalisée d’autonomie (APA) est à l’inverse plus élevée pour les personnes âgées vivant à domicile : 61% du total. Mais à l’APA en établissement, s’ajoute l’aide sociale à l’hébergement pour les plus modestes – une dépense qui diminue depuis 2011.
Généralisé par une loi de novembre 2024 après une expérimentation, le baluchonnage permet un répit de "longue durée" - jusqu’à six jours – pour les proches aidants de personnes en perte d’autonomie. Spécifiant le cahier des charges pour les structures d’aide à domicile souhaitant proposer ce service et les dérogations au droit du travail, le décret de mise en œuvre de cette solution est paru en août 2025.
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Sébastien Lecornu annonce une partie de son Gouvernement le 5 octobre. Catherine Vautrin conserve son ministère qui est élargi puisqu'il comprend le Travail, la Santé, les Solidarités, les Familles mais aussi l'Autonomie et les Personnes handicapées.
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À l'occasion de la journée nationale des aidants le 6 octobre, Alexine Geller, de l'Union nationale des associations familiales, et Bénédicte Kail, d'APF France handicap, co-animatrices du Collectif interassociatif des aidants familiaux, reviennent sur les derniers engagements gouvernementaux concernant les aidants et listent leurs revendications.
Quelques jours avant la Journée nationale des aidants, le 6 octobre, la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) et le Service public de l’autonomie ont lancé, avec le soutien du ministère chargé des Solidarités, la deuxième campagne nationale destinée aux aidants.
En quête d'une solution de répit ? Le baluchonnage consiste à faire venir un professionnel formé au domicile d'une personne dépendante pour soulager son aidant. Focus sur ce dispositif à l'occasion de la Journée nationale des aidants du 6 octobre.
Convoquer la linguistique pour évoquer sa fonction d’aidante ou d’aidant – sa place auprès du proche qu’on accompagne, la façon dont on nomme la maladie qui l’affecte, les liens qui nous unissent… –, c’est l’objet d’une recherche participative originale menée par des linguistes auprès d’aidantes de malades d’Alzheimer.
Avec l’entrée dans le grand âge des membres de la génération du baby-boom, la France fait face à une augmentation considérable des besoins d’accompagnement. Les politiques publiques misent sur le maintien à domicile, mais cette orientation repose largement sur l’aide des proches (conjoints, enfants, petits-enfants), dont la disponibilité risque de diminuer. Les personnes âgées veulent-elles vraiment dépendre de leur entourage pour rester à domicile ? Et leurs proches le souhaitent-ils ?
À l’occasion de la fête des grands-pères, célébrée ce dimanche 5 octobre, le psychologue clinicien Bruno Clavier, spécialisé dans la psychanalyse transgénérationnelle, nous explique comment être de bons ancêtres en tant que grands-parents.
Une vaste étude sur plus de 1.000 espèces révèle que la longévité n'est pas qu'une affaire de comportements à risque: la génétique et la compétition sexuelle pèsent lourdement sur l'espérance de vie, mais pas toujours dans le sens attendu.
Coordonnée par l’Uniopss avec 16 partenaires, la Semaine bleue, ou Semaine nationale des retraités et personnes âgées, donnera lieu à de nombreuses actions, du 6 au 12 octobre 2025, pour célébrer la place des personnes âgées dans notre société et l’entente entre les générations. Lors du lancement de la démarche, ce 1er octobre, le Conseil de l’âge a présenté ses propositions pour un plan de lutte contre l’âgisme, considérant que cet âgisme est l’explication de notre difficulté à "vraiment agir pour accompagner le vieillissement de la population".
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À travers dix propositions, le conseil de l'âge encourage la mise en place d'un futur plan de lutte contre l'âgisme pour relever les défis de la transition démographique et combattre les discriminations. Il milite pour un nouveau lexique.
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Les personnes vieillissantes en situation de handicap ont des spécificités à considérer lors des consultations gériatriques. Les médecins et les aidants ont un rôle clé dans sa préparation. La communauté de recherche Dima publie une fiche dédiée.
S’appuyant sur les résultats issus d'une enquête auprès des départements, la Drees détaille les évolutions des prestations sociales (à jour de fin 2023) dont bénéficient les personnes en perte d’autonomie ou en situation de handicap, en termes de dépenses, de répartition et d’attribution.
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Parce que s’occuper d’un ou d’une proche malade ou en situation de dépendance affecte fortement la vie des aidants, des communes se mobilisent pour les assister. Les proches aidants sont nombreux et le seront de plus en plus au vu du vieillissement de la population. Informer et orienter sont les premières actions mises en place par les communes, qui peuvent aussi organiser des activités et offrir des solutions de répit.
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Après plus de trois décennies d'existence, la journée internationale des personnes âgées organisée tous les ans par l'Onu le 1er octobre se présente presque comme un rendez-vous manqué. Cette année, cet événement veut donner du pouvoir à la voix des aînés pour un avenir inclusif. Il reste toutefois invisible. Pourquoi ?
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L'Institut nutrition publie un baromètre de la nutrition à domicile en prenant en compte le niveau d'autonomie. Il en ressort que la découpe, l'épluchage mais aussi la perte d'appétit font partie des premières difficultés à l'alimentation des aidés.
Piétinons les clichés, dans ces Carnets en Haute-Loire : non, la colocation n'est pas réservée aux étudiants, pas plus que le bridge n'est un jeu pour les vieux ! Au programme : des colocations pour personnes âgées, les Maisons Marguerite, et du bridge pour les enfants, accès ludique aux maths.
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À Nice, la ville a lancé un dispositif inédit pour recréer du lien médical avec des habitants fragiles et isolés. Une voiture et un agent de sécurité de la commune permettent à des médecins volontaires d’assurer des visites à domicile, auprès de patients oubliés du système de soins. Reportage.
