Pourquoi les pratiques en amateur sont-elles si peu visibles dans les politiques culturelles ?
Alors que 23,4 millions de Français·es déclarent avoir une pratique artistique en amateur (étude DEPS 2018), l’existence de ces pratiques, la dynamique territoriale qu’elles génèrent et les besoins des personnes concernées sont de plus en plus invisibilisés. Pourquoi ? Quels points de tension se cachent derrière un modèle de décentralisation culturelle qui se passe aujourd’hui totalement de la prise en compte des initiatives autonomes sur les territoires ?