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Le Défenseur des droits a lancé, en partenariat avec le Fonds CMU, une étude sur « L’accès à la santé des enfants pris en charge au titre de la protection de l’enfance : accès aux soins et sens du soin » réalisée par l’équipe de recherche EFIS de l’Université Paris Ouest Nanterre.
Le livret "Quand on te fait du mal", conçu pour aider les enfants victimes de violences à comprendre, parler et se protéger, existe désormais en version audio sur YouTube. Un outil de prévention précieux, soutenu par des experts et largement diffusé depuis 2022.
Copilotée par les députées Nathalie Colin-Oesterlé (Horizons) et Anne Stambach-Terrenoir (LFI), la mission d’information sur la santé mentale des mineurs alerte sur l’urgence à agir pour une politique renforcée et mieux coordonnée. Une cinquantaine de mesures visent à développer la prévention, consolider l’offre existante et renforcer les liens entre sanitaire, médico-social et éducation.
Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application permettant de vérifier l'âge des utilisateurs en ligne et d'empêcher les enfants d'accéder à des contenus dangereux comme les sites pornographiques, a annoncé lundi la Commission européenne.
Une instruction du 10 juin 2025 fixe les orientations des politiques soutenues, en 2025, par le Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD). En baisse, son budget s'établit cette année 74,4 millions d'euros (contre 87,4 M€ en 2024).
Les pratiques addictives gagnent du terrain chez les jeunes. Le dernier baromètre Ipsos pour la MACIF met en lumière une hausse des consommations à risque et un mal-être qui s’installe durablement depuis la crise sanitaire.
Cette aide financière couplée à un accompagnement personnalisé a montré son utilité sociale auprès de 1 300 jeunes du département depuis 2022, souligne la collectivité. Un bilan qu'elle souhaite porter au niveau national avec Lyon et la Meurthe-et-Moselle, engagés dans des dispositifs similaires.
Publié le 2 juillet, le référentiel national de qualité pour l'accueil établit un socle commun de pratiques professionnelles pour tous les modes d'accueil. Il représente un pilier essentiel du service public de la petite enfance.
En 2023, la pauvreté en France métropolitaine a atteint un pic historique avec 15,4 % de la population concernée, soit 9,8 millions de personnes. Cette augmentation, la plus forte depuis près de 30 ans, touche particulièrement les familles monoparentales et les enfants.
Dans un communiqué conjoint, la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) et l'Union nationale pour l'habitat des jeunes (Unhaj) font part de leur volonté de rencontrer les ministres en charge du Travail, de l’Emploi et des Solidarités.
Cinq ans après le Grenelle des violences conjugales, la commission des finances du Sénat dresse un constat mitigé : malgré un budget en hausse, la lutte contre les violences faites aux femmes reste dispersée, sous-financée et mal évaluée. Les rapporteurs spéciaux Arnaud Bazin et Pierre Barros appellent à une stratégie globale, un pilotage renforcé et une mobilisation accrue des collectivités et des fonds européens.
Afin d’obliger la France à mettre sa politique de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs isolés en conformité avec la Convention internationale des droits de l’enfant, plusieurs associations ont saisi le Conseil d’Etat, qui a récemment fait connaître sa décision.
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A la communauté de communes Loches sud Touraine, un service itinérant de ressources et d’informations va à la rencontre des parents dans dix communes de ce territoire rural.
Dans un avis publié au Journal officiel du 26 juin dernier, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH), garante des droits humains et du droit international humanitaire en France, rappelle que tous les mineurs étrangers présents sur le territoire doivent avoir accès « aux activités sportives, culturelles et aux loisirs ».
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Avec une dernière valorisation qui remonte à 2017 et un plafonnement de l'IFSE, la rémunération des éducateurs de jeunes enfants inquiète la fédération CGT des services publics, qui s'est fendue d'une lettre ouverte pour dénoncer cette situation.
Ce document de 55 pages "définit les pratiques attendues dans l’ensemble des modes d’accueil" et comporte trois parties : relation au jeune enfant, relation aux parents, qualité organisationnelle. Il servira de référence lors des inspections-contrôles.
Alors que près de 14 % des Français vivent sous le seuil de pauvreté, dont plus de trois millions d’enfants, la députée Isabelle Santiago alerte sur l’absence d’objectifs clairs de l’État en matière de lutte contre la pauvreté. Le gouvernement met en avant le Pacte des solidarités, dont un bilan est attendu à l’été 2025.
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La région Ile-de-France appuie deux initiatives pour la santé mentale des jeunes : la publication d’un nouveau baromètre mesurant leurs difficultés, et une plateforme numérique destinée aux jeunes en détresse psychique. Le site, MyMood, leur permet de faire une auto-évaluation de leurs troubles et de connaître les dispositifs de prise en charge. Au risque de se substituer à la consultation d’un praticien, prévient un expert.
Parmi les 44 mesures proposées par deux députés pour promouvoir une « parentalité plus égalitaire », trois recommandent une meilleure lisibilité et homogénéité de l’offre, et la revalorisation des métiers.
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Le directeur général adjoint aux Solidarités du Pas-de-Calais a été condamné pour détention d’images pédopornographiques. Le conseil départemental l’a aussitôt démis de ses fonctions et mis en place une cellule d’écoute pour ses agents. Patrick Genevaux était président de l’Association nationale des directeurs de l’action sociale et de la santé.
La ministre des Solidarités, Catherine Vautrin, avait promis de revoir, d’ici à fin juin, l’encadrement de ces lieux d’accueil largement saturés. Inquiets des derniers échanges avec l’administration, le Gepso, l’Anmecs, la Cnape, la Fehap et l’Uniopss réclament une ambition à la hauteur des enjeux.
Après un ralentissement lié à la chute des flux migratoires au moment de la crise sanitaire, l’accueil d’enfants et jeunes par l’aide sociale à l’enfance (ASE) a fortement augmenté en 2023, du fait notamment d’une hausse importante du nombre de mineurs non accompagnés (MNA) pris en charge. Les derniers chiffres de la Drees objectivent l’ampleur de la crise vécue depuis 2023 par le secteur de la protection de l’enfance, avec des tendances – dont la baisse de l’accueil familial - qui sont à l’inverse de ce que le gouvernement entend privilégier.
