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Dans l'aide sociale à l'enfance (ASE), les mineurs non accompagnés (MNA) seraient-ils « devenus trop nombreux pour un système qui n'a pas été pensé pour cela », comme l'écrivent les Départements de France ?
La relance des crèches familiales "peut être une des réponses aux défis du secteur face à la crise d’attractivité de la profession", mais elle "ne pourra se faire sans un portage politique fort", affirme ce groupe de travail qui est piloté par l’élue de Versailles Annick Bouquet et le Collectif national des assistants maternels en crèche familiale.
Depuis le 1er janvier 2025, les conventions conclues entre les gestionnaires d’équipements et services aux familles – tels que les établissements d’accueil des jeunes enfants (EAJE) – et les caisses d’allocations familiales (CAF) doivent définir un régime de sanctions de manquement aux règles de la branche Famille.
Surprise. À la rentrée scolaire, des parents se sont vus demander une attestation d'honorabilité pour accompagner les enfants à la bibliothèque ou en sortie au musée. Ce document concerne a priori les professionnels et bénévoles qui travaillent auprès de jeunes enfants en crèche, milieux éducatifs ou de protection de l'enfance. Par ce biais, les directions vérifient si les intervenants sont inscrits au fichier des délinquants sexuels.
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À l’occasion de la « Rentrée de la petite enfance », organisée le 17 septembre à Paris, les professionnels ont alerté sur l’urgence d’agir : pénurie de main-d’œuvre, formations inadaptées, financements figés… Le secteur est à l’arrêt, faute d’impulsion politique.
Si l’augmentation a été plus légère en 2024, elle est à mettre en relation avec la poursuite de la baisse de la population générale des moins 21 ans, a souligné la Drees lors de la présentation de données provisoires pour 2024 et de son dispositif statistique sur la protection de l’enfance.
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Dans un rapport publié ce mardi 16 septembre, le Conseil de l’Europe salue les efforts de la France pour renforcer sa politique de lutte contre les violences domestiques et sexuelles, mais pointe aussi des pistes d’amélioration. La Gazette des Communes met en ligne le document, qui énonce des mesures pouvant intéresser les acteurs du partenariat local de sécurité.
Après une première phase opérationnelle déployée entre 2010 et 2021 avec l’appui du BRGM, plus de 1.600 diagnostics des sols restent encore à réaliser pour prévenir les risques sanitaires dans les établissements accueillant des enfants implantés à l’emplacement d’anciennes activités industrielles, notamment en régions Auvergne-Rhône-Alpes, Île-de-France et, dans une moindre mesure, Hauts-de-France, Grand Est et Normandie.
Dans une réédition augmentée de son livre "Les Ogres", le journaliste Victor Castanet accuse cette fois la société "La Maison Bleue" de réduire ses coût au détriment des enfants accueillis. Elle fait face à plusieurs plaintes, dont une du syndicat national des professionnels de la petite enfance.
Malgré son annonce par Gérald Darmanin en août 2025, l’ordonnance de sûreté destinée à renforcer la protection des enfants face aux parents agresseurs restait pourtant floue quant à son contenu. Ses contours ont finalement été en partie précisés ce 13 septembre 2025.
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Pour rendre au métier d’assistant maternel son attractivité et renforcer la qualité de son accueil, l’Igas recommande, dans un rapport, de faire des crèches familiales le cadre privilégié de l’exercice de l’accueil individuel.
Publié le 12 septembre, le Baromètre Ipsos/Secours populaire 2025 dresse un tableau inquiétant d’une jeunesse fragilisée : privations alimentaires, difficultés pour se vêtir ou accéder aux loisirs, anxiété massive face à l’avenir et sentiment de déclassement générationnel.
Il m’arrive parfois de songer à ces phrases à priori anodines, lancées par certains parents à leur enfant. Ce sont de véritables échardes du quotidien qui s’agrippent à la peau des enfants. « Tu n’y arriveras jamais. » « Pourquoi tu n’es pas comme ton frère ? », « tu es nul », « tu n’y comprends rien parce que tu es bête ».
La situation du logement pour les jeunes est d'une gravité sans précédent. C'est le constat qu'avaient établi en début d'année dans un rapport commun le Conseil d’orientation des politiques de jeunesse et le Conseil national de l’habitat. Par exemple, 17 % des étudiants abandonnent leurs études faute de logement accessible.
Des employés témoignent de conditions de travail délétères pour le personnel et les bénéficiaires de l'ASE. Leurs récits sont corroborés par de récentes études portant sur cette politique sociale.
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Publié cet été, le « référentiel national de la qualité d’accueil du jeune enfant » fixe un cap : développer une approche empathique et respectueuse des tout-petits, objectif qu’un collectif, psychanalystes en tête, voit comme du laxisme, sans limite éducative.
Premier mode de garde des jeunes enfants en France, l’accueil de jeunes enfants par des assistants maternels est "aujourd’hui en déclin" alors qu’il présente des avantages. Pour enrayer cette tendance, l’Inspection générale des affaires sociales formule 35 propositions pour réduire la précarité des professionnels, renforcer la formation afin de revaloriser le métier et sécuriser davantage l’accueil pour donner confiance aux familles.
Dans un rapport très attendu sur l’accueil individuel publié cet après-midi, la mission émet 35 recommandations dont certaines bousculent les fondements actuels de l’exercice de la profession.
Un décret du 5 septembre 2025 vient réactualiser les dispositions relatives à ces structures de l'aide sociale à l'enfance (ASE) dédiées aux bébés de la naissance à 3 ans. Parmi les évolutions majeures : mise en place d'une durée limitée de l'accueil à quatre mois et renforcement des taux d'encadrement pour les auxiliaires de puériculture.
L’amélioration de la situation des jeunes majeurs issus de l’aide sociale à l’enfance (ASE) passe par un partenariat renforcé entre les départements, l’État et les acteurs du logement, de l’insertion et du handicap, pour l’Inspection générale des affaires sociales qui vient de publier un rapport d’évaluation sur le sujet.
