Et si les moments de non-travail en dévoilaient davantage que ceux passés à travailler ?
En entreprise, ces temps de latence ne se résument pas qu'aux bavardages à la machine à cafés. Ce sont une multitude de comportements du quotidien, dont certains s'avèrent utiles professionnellement. Selon Sophie Rauch, chercheuse et autrice sur le sujet, le non-travail serait donc une manière "plus honnête" de parler de ce qu'il se passe (vraiment) au bureau.