Le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. » – Nelson Mandela. Dans un monde du travail en constante évolution, les managers doivent affronter l’incertitude, prendre des décisions difficiles et assumer leurs choix. Cette capacité à oser dire, agir et décider est une qualité importante pour manager dans les contextes actuels.

Est-il nécessaire de partager des centres d’intérêt pour construire des relations de qualité avec ses collègues? Comment la cohésion peut-elle naître dans un groupe en l’absence d’affinités personnelles? Ces questions prennent tout leur sens de nos jours, alors que les équipes sont bien souvent multigénérationnelles, multiculturelles et multidisciplinaires.

Souvent centrés sur la performance et les objectifs, les entretiens individuels négligent parfois une dimension capitale : les émotions. Pourtant, les reconnaître et les accueillir peut renforcer la confiance, améliorer la communication et favoriser un management plus humain

Je suis la manager de plusieurs managers. Chacun a son style et son niveau d’expérience : mon enjeu est de les accompagner sans imposer un modèle unique. Mais aussi de favoriser le travail collaboratif entre eux, et ça, c’est compliqué ! Il y a de vrais silos, la communication n’est pas fluide entre leurs équipes et je constate des frictions inutiles.

Soumis à des injonctions contradictoires et à des charges émotionnelles croissantes, les managers intermédiaires deviennent le maillon faible de l’entreprise. Entre surcharge, flou des rôles et désengagement croissant, le middle management vit une crise silencieuse mais profonde. Comment en est-on arrivé là, et surtout, comment réhabiliter ce rôle essentiel au bon fonctionnement des organisations ?

Malgré les efforts annoncés, et plus ou moins suivis d’effets, les femmes continuent de moins bien progresser que les hommes au travail. Pour expliquer ce phénomène, un facteur souvent négligé mérite d’être pris en compte : quels sont les critères de performances mobilisés au travail ? Ne correspondent-ils pas à une vision plus masculine que féminine de la réussite ?

Que l’on soit un manager de proximité ou un haut dirigeant, la rentrée de septembre est souvent synonyme de tourbillon et de charge mentale. La déconnexion pendant les congés est déjà trop souvent illusoire pour nombre de personnes. Et la pause estivale n’arrête pas l’activité, les projets s’accumulent.

La rentrée scolaire bat son plein. Cette période, à la fois attendue et redoutée, est parfois synonyme de stress intense. En effet, alors que pendan

Comment remobiliser vos équipes après les congés d'été ? Conseils concrets pour RH et managers pour relancer motivation et dynamique collective.

Soyons honnêtes : nous mentons tous. Chaque jour, selon ce qu’avancent certaines études classiques¹. Par omission, flatterie, exagération ou silence complice, le mensonge prend mille formes et s’infiltre partout, y compris dans nos milieux de travail. Cette forme de tromperie trop souvent banalisée peut engendrer de nombreux impacts délétères pour les personnes comme pour les organisations. Comment alors mieux la comprendre? Et, surtout, comment cultiver une culture de l’honnêteté?

Terminer sa journée de travail à l’heure n’est pas un signe de désengagement, mais une manière de conjuguer santé et performance sur la durée. Comment poser des limites claires face à la culture du “toujours plus” ? Voici des conseils pour affirmer vos priorités et préserver votre énergie sans culpabiliser ni passer pour un tire-au-flanc.

Être manager, c’est motiver, engager, faire monter en compétences, et c’est aussi devoir dire les choses : faire un recadrage, poser des limites, exprimer un désaccord. Mais comment s’affirmer sans froisser, braquer ou démotiver ses collaborateurs ?

La connaissance de soi devient un levier essentiel pour un leadership authentique. Dans un contexte complexe, introspection et rétroaction affinent la posture et la communication des gestionnaires.

Lors du Salon du Management 2025, Laura Lange, philosophe et conférencière, est revenue sur l'optimisme au travail. Découvrez la vidéo, ci-dessus, en 5 minutes chrono.

Nous avons tous vécu cette situation déconcertante : lors d’une réunion ou pendant un débat, nous nous demandons comment cette personne, visiblement limitée dans ses connaissances, parvient à exercer est arrivée là. Ce phénomène n’est ni fortuit ni mystérieux. Il repose sur des stratégies sociales bien rodées, où l’art de paraître l’emporte temporairement sur l’art de faire.

Mais là j’ai l’impression de faire face à des demandes de plus en plus individuelles : un tel est parent, tel autre pratique du sport, il y a aussi les aidants… Cela devient compliqué de jongler avec les contraintes de chacun ! Le collectif en pâtit, et les managers doivent se sur-adapter.

Seulement 8 % des salariés français se disent engagés dans leur travail en 2025, selon l’étude Gallup. Un désengagement de masse qui fragilise la performance, le climat social et l’attractivité des entreprises. Pourtant, des leviers simples et efficaces existent.

Lors du Salon du Management 2025, Laetitia Vitaud, autrice et conférencière, est revenue sur les différentes formes de reconnaissance au travail. Découvrez la vidéo, ci-dessus, en 5 minutes chrono.

Dans l’apparente banalité des salles de conférence, là où se prennent les décisions, se joue une guerre silencieuse qui se révèle parfois sournoise. Derrière les présentations PowerPoint et les analyses financières se cachent des luttes de pouvoir qui sont capables de façonner l'avenir d'une organisation, mais qui n’ont souvent aucun lien avec les enjeux auxquels elle fait face. Cette bataille des égos qui fait rage au sein des comités de direction représente l'un des défis les plus sous-estimés de la gouvernance moderne. Voici quelques exemples concrets, tirés de l’expérience de l’auteur.

En tant que manager vous ne pouvez pas tout savoir. Cadre supérieur et dirigeant, vous ne pouvez pas expert en tout, pourtant vous devez défendre tous les départements et services, de toute expertise, même et surtout celles qu’il ne connaît pas bien. Manager des divas est un art compliqué. Voici quelques repères pour réussir.

Les aspirations professionnelles évoluent : les collaborateurs ne recherchent plus seulement un statut ou un salaire, mais une vie professionnelle en cohérence avec leurs valeurs. Pour les RH, cette mutation est une opportunité stratégique ; pour favoriser un engagement durable.

De nombreux managers disent "oui" à leurs équipes alors qu'ils pensent le contraire. Au point de le regretter, voire de s'épuiser. Pour remédier à cette posture de "people pleaser", sans culpabilité, Sophia Glandor, coach à ICF France, nous partage quelques clés de compréhension ainsi que des conseils à appliquer dès à présent.

Rencontrer des gens inspirants, développer des compétences concrètes, vivre des expériences uniques et s’ouvrir au monde : loin de se limiter à un simple geste altruiste, le bénévolat peut aussi s’avérer payant sur le plan professionnel.

Manager, c’est aussi l’art de faire des excuses, mais quand il faut… Alors que de nombreux managers hésitent à présenter des excuses quand ils font des erreurs estimant que ce serait l’aveu d’une faiblesse. Pourtant des excuses sincères sont souvent le signe d’un certain courage, pour sauver une relation ou amener de nouvelles opportunités. A contrario trop s’excuser tend à décrédibiliser. La vérité se trouve entre ces deux extrêmes. Manager, c’est aussi l’art de faire des excuses, mais quand il faut…