La veille professionnelle sélectionnée pour vous
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En 2023, Gary Hamel a pris la parole au nom de nombreux managers et enseignants des écoles de commerce en définissant le management comme « l’ensemble des outils, méthodes, processus et structures que nous utilisons pour accomplir collectivement ce que nous ne pourrions réaliser seuls ».
Face au culte de la performance qui domine les relations professionnelles, une théorie refait surface pour entretenir la coopération au sein des équipes. Le cycle du don contre don, introduit par l'anthropologue Marcel Mauss en 1925, trouve un écho particulier dans les organisations, alors que l'engagement est fragilisé. Comment cette dynamique peut-elle être un puissant levier pour recréer un écosystème de confiance et de réciprocité ?
Aujourd’hui, c’est Adrien, 40 ans, directeur d’une équipe de commerciaux dans une PME, qui nous a confié son petit caillou : « Je suis naturellement quelqu’un de très gentil, et cela se reflète dans ma manière de manager. Je préfère éviter les conflits et cherche toujours à maintenir une ambiance positive au sein de l’équipe. Cependant, je me rends compte que cette attitude me fait parfois manquer d’autorité.
Il est nécessaire de savoir « faire un break » pour les managers ! On le répète à l’envi : le monde est complexe et manager est fatigant et stressant ! La gestion des équipes, des clients, de sa hiérarchie -oui, aussi 😊 - et des projets est exigeante et entraîne souvent un épuisement mental et physique. Beaucoup trop de managers négligent le repos et la récupération et sont persuadés que la productivité et leurs résultats sont liés uniquement à la quantité de travail produit. Quelle erreur !
Si la (ré)insertion professionnelle est le meilleur remède après une incarcération pour éviter la récidive, être un ancien détenu engendre des préjugés tenaces de la part des entreprises. La fondation M6 s'est ainsi donnée pour mission de réconcilier ces deux mondes, qui ont peut-être davantage à s'apporter qu'ils ne le pensent ! Témoignages.
Alors que le télétravail semblait s'être imposé comme une nouvelle norme depuis la période post-Covid, les entreprises françaises sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses à en réévaluer la place dans leur organisation.
Particulièrement difficile au quotidien, le syndrome de l’imposteur prend la forme d’un doute maladif caractérisé par la négation de tout mérite de ses propres actes en matière d’accomplissement personnel, souvent sur le plan professionnel. Voici quelques signes qui permettent de reconnaître ce trouble.
Le lieu, situé au bout d'un couloir banal, ne paie a priori pas de mine. Il est pourtant unique : ici commence en effet un voyage inédit autour d'une science à la fois fascinante et mal-aimée, encensée et décriée. Une discipline qui, comme le disait le grand théoricien Peter Drucker, relève à la fois de la « technologie » et de « l'humanité ». Bienvenue au premier « Musée du management », un espace d'exposition et de réflexion qui vient de prendre ses quartiers au sein de l'université Paris-Dauphine après avoir été expérimenté dans une version nomade et éphémère.
À l’occasion de l’opération « Octobre Rose », nous souhaitons aborder un sujet délicat mais crucial en entreprise : comment soutenir un(e) collègue ou un(e) collaborateur(trice) atteint(e) de cancer sans commettre de maladresse ? Face à cette épreuve, la réaction de l’entourage professionnel peut jouer un rôle clé dans le bien-être et le moral de la personne concernée.
La figure du chef en entreprise est plus que jamais questionnée. Nicolas Framont, sociologue de formation et auteur de "Vous ne détestez pas le lundi"*, remet en question la culture hiérarchique et les dérives managériales qui fragilisent les salariés et entraînent du mal-être au travail. Si les sources de la souffrance sont, bien sûr, multifactorielles, s'interroger sur la figure du chef, son rôle et son utilité est indispensable.
